Ce moment de détente, partagé avec une quinzaine d’habitants, a été surtout l’occasion de parler des menaces pesant sur l’espèce (protégée d’ailleurs) : collisions routières, empoisonnement par les pesticides, mais aussi des jardins inadaptés, trop proprets, dépourvus de zones refuges, broussailles, feuilles mortes, mousses et brindilles indispensables pour la fabrication des gîtes d’hibernation.
Habitants de Monnières, si vous avez vu des hérissons récemment, dites-nous la rue, pour avoir une idée plus précise de son existence dans le village. Parmi les participants à l’animation, personne n’en avait vu vivant cette année.